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Questions à se poser

  1. Ecouter son intuition, suivre sa « voix intérieure », son instinct de survie, s'il y a des éléments pas clairs.
  2. Savoir si l'on souhaite acquérir un pouvoir, une « puissance » sur d'autres, appartenir à un groupe très structuré; ceci en lieu et place d'un travail véritable sur soi-même.

  3. Vérifier s'il existe un système de collecte ou de dîme coercitive, avec volonté de faire payer une « méthode », souvent justifié par un devoir de solidarité.
  4. Que demande-t-on financièrement aux membres (signature de traites, de procurations, engagement à se défaire d'un héritage, reconnaissance de dettes).

  5. Observer comment se comporte le maître, le leader dans son quotidien, ses privilèges et ses déviances dissimulées.
  6. Voir comment se comporte le leader à l'égard des personnes d'origine modeste, sans fortune, des serviteurs, des aides ou bénévoles. Aucune utopie ou projet de société ne peut justifier de maltraiter les uns ou les autres.

  7. Quelle liberté de sortir et revenir, sans réserve, est laissée aux membres, aux adhérents.
  8. Le statut de nouveau membre évolue-t-il vers une soumission plus contraignante et vers une perte d'autonomie.

  9. Quel est le traitement réservé aux enfants (nourriture, sommeil, travail, éducation, reconnue ou non par l'Etat, en somme tous les Droits de l'enfant cités dans la Convention des Nations-Unies).
  10. Quelle est la situation de la majorité des femmes, (leur statut, leurs droits, le traitement distinct qui leur est réservé).

  11. Quels liens sont maintenus avec les familles d'origine.
  12. Comment sont respectées les lois sociales et les lois du travail (sécurité sociale, impôts, fortunes, biens déclarés).

  13. Quelle est la prise en charge en cas de maladie, toutes les médecines sont-elles admises, surtout pour les situations d'urgence.

Maladie